Je t’ai vu tracer le long du paysage, une ligne des aimés qui détruisent ton langage
Et quand tu chantais plus fort dans ton silence, je voyais les larmes couler toujours à contresens
Mais quand les saisons attendront ton retour, ce sera le vent qui portera secours
Et si la terre est sombre, et si la pluie te noie, raconte-moi qu’on puisse trembler ensemble
Et si le jour vient pas dans la nuit des perdus, raconte-moi qu’on puisse crier tout bas
Crier tout bas…
J’ai voulu calmer ton souffle qui s’étouffait, des courses vers le vide, ton rire qui soupirait
Si tu mets le cap vers des eaux restant troubles, je serai le phare qui te guidera toujours
Mais quand les saisons attendront ton retour, ce sera le vent qui portera secours
Et si la terre est sombre, et si la pluie te noie, raconte-moi qu’on puisse trembler ensemble
Et si le jour vient pas dans la nuit des perdus, raconte-moi qu’on puisse crier tout bas
Crier tout bas…
Je t’ai vu tracer le long du paysage, une ligne des aimés qui détruisent ton langage
Et quand tu chantais plus fort dans ton silence, je voyais les larmes couler toujours à contresens
Et si la terre est sombre, et si la pluie te noie, raconte-moi qu’on puisse trembler ensemble
Et si le jour vient pas dans la nuit des perdus, raconte-moi qu’on puisse crier tout bas
Crier tout bas…