Les vents se déchaînent enfin, Sur toi ma reine chagrin
Et sous la lanterne au jardin, Va le destin des éphémères
Oh doux galet millénaire, Si lisse au plat de la main
Ton puits de vie sous la chair, M'apaise de tous les enfers
Oh En flèche en ciseaux
On se garde de tout repos
On prêche sous l'armure
Le mensonge le plus pur
Mais pour alléger nos semelles, Suivons la piste du sommeil
Mon ange de nuit tes ailes, Par le duvet se régénèrent
De l'obscurité la lisière, Pointe à l'est de nos chimères
Revenus mâle et femelle, Viens allons cueillir la lumière
Oh En flèche en ciseaux
On se garde de tout repos
On prêche sous l'armure
Le mensonge le plus pur
Oh En flèche en ciseaux
On se garde de tout repos
On prêche sous l'armure
Le mensonge le plus pur