Tono: E
Introducción:
Em
Je garde les pieds sur terre, je garde la tête froide
C
Je garde un revolver jusque dans ma baignoire
B7
Je garde un oeil ouvert quand je suis dans mon lit
C B7
Plus une veste militaire sous mon pyjama gris
Em
Je garde le buste droit, la tête sur les épaules
C
Je garde un regard froid sur l'écran de contrôle
B7
Je garde un coeur de pierre du lundi au dimanche
C B7
Et pour tout l'univers, y'a que de la méfiance
C B7 Em
Gardien de zoo c'est peinard
C B7 Em E
C'est pas souvent qu'les pingouins s'barrent
C B7 C B7
Mais gardien de nuit c'est plus compliqué
C B7 Em
La nuit finit toujours par s'échapper
Em
Je garde les pieds sur terre, je garde la tête froide
C
Je garde un revolver jusque dans ma baignoire
B7
Je garde un oeil ouvert quand je suis dans mon lit
C B7
Plus une veste militaire sous mon pyjama gris
Em
Je garde le buste droit, la tête sur les épaules
C
Je garde un regard froid sur l'écran de contrôle
B7
Je garde un coeur de pierre du lundi au dimanche
C B7
Et pour tout l'univers, y'a que de la méfiance
C B7 Em
Gardien de but, c'est trop fastoche
C B7 Em E
Suffit d'enlever les mains d'ses poches
C B7 C B7
Mais gardien de nuit c,est beaucoup plus compliqué
C B7 Em
Le jour finit toujours par arriver
Em
Je garde les pieds sur terre, je garde la tête froide
C
Je garde un revolver jusque dans ma baignoire
B7
Je garde un oeil ouvert quand je suis dans mon lit
C B7
Plus une veste militaire sous mon pyjama gris
Em
Je garde le buste droit, la tête sur les épaules
C
Je garde un regard froid sur l'écran de contrôle
B7
Je garde un coeur de pierre du lundi au dimanche
C B7
Et pour tout l'univers, y'a que de la méfiance
Em
Je garde les pieds sur terre, je garde la tête froide
C
Je garde un revolver jusque dans ma baignoire
B7
Je garde un oeil ouvert quand je suis dans mon lit
C B7
Plus une veste militaire sous mon pyjama gris
Em
Je garde le buste droit, la tête sur les épaules
C
Je garde un regard froid sur l'écran de contrôle
B7
Je garde un coeur de pierre du lundi au dimanche
C B7
Et pour tout l'univers, y'a que de la méfiance