J’ai la mer au-dessus de mon âme,
j’ai la mer au-dessus de mes pensées.
J’ai la mer au-dessus de mes drames,
n’importe où sur la terre s'il y a la mer, on peut rester.
Vas-y marche, sors des sentiers, laisse entrer l’air du monde entier.
Ne te dérobe pas, non, ne te dérobe pas, non, reviens-moi parfois pour me raconter.
J’ai marché moi avant toi, j’n’ai pas tout vu, oh biеn loin de là,
mais le peu qu’jе sais, oh, le peu que je sais, oh,
reviens-moi, parfois je te le dirai.
J’ai la mer au-dessus de mon âme,
j’ai la mer au-dessus de mes pensées.
J’ai la mer au-dessus de mes drames,
n’importe où sur la terre s'il y a la mer, on peut rester.
Vas-y rêve, danse, chante et joue, c’est ça la sève qui te f'ra pousser.
C’est ça la raison, comme ça qu’on répond à la question : "Comment je fais pour être bien ?"
Voici c’que moi je sais de moi depuis que je suis parti loin
J’ai la mer au-dessus de mon âme,
j’ai la mer au-dessus de mes pensées.
J’ai la mer au-dessus de mes drames,
n’importe où sur la terre s'il y a la mer, on peut rester,
n’importe où sur la terre s'il y a la mer, on peut rester.
Si tu n’oses pas, tu as le choix, tu sentiras la guerre en toi.
Si tu n’oses pas, tu as le choix, tu sentiras la guerre en toi.
Si tu n’oses pas, tu as le choix, tu sentiras la guerre en toi.
Si tu n’oses pas, quoiqu’il en soit.
T’auras ton père au-dessus de ton âme,
t’auras ton père au-dessus de tes pensées.
T’auras ton père au-dessus de tes drames,
n’importe où sur la terre, n’importe où sur la terre,
n’importe où sur la terre, je serai ton père, p’tit enfoiré.